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| | Suri J. Ross. | |
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Suri J. Ross
Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 31/07/2008
Feuille de personnage Humeur: Fouineuse. Affinités:
| Sujet: Suri J. Ross. Jeu 31 Juil - 22:54 | |
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Identité
Nom : Ross. Prénom(s) : Suri Jane, ni plus, ni moins. Âge : 17 ans. Date et lieu de naissance : Su' nacquit dans un hôpital général américain, le 14 novembre 2053. Métier ou occupation : Était serveuse à temps partiel. Mais depuis le début des drames, elle est bénévole à l’hôpital général, et cache bien son jeu. Se servant de sa proximité face aux victimes pour leur sous-titrer des informations sur leur agresseur, elle doit néamoins s'eclipser pour prendre l'air à tout les trente minutes. Ses nombreux contacts avec les mourants et les personnes agonisantes la terrorisent et elle sait bien que si on ne manquait pas d'aide à l'hôpital, on s'aurait chargé de la virer il y a longtemps.
Introspection
Caractère : Suri Jane est susceptible d’évoluer brusquement d’une tendance à l’autre. Ses doubles facettes en laissent d’ailleurs plusieurs pantois. Une allure altière et décidée, une autorité malicieuse et indépendante. Qui pourrait donc deviner que sous ce vernis extérieur se protège une sensibilité troublante? N’épargnez personne étant le diction du moment, Su’ a promptement scellé sous clef sa vulnérabilité et s’est réfugié derrière sa cuirasse de dureté. Fière et arrogante, elle refuse que qui que se soit la voit comme étant cassable et semblerait prête à dire adieu à sa sensibilité pour qu’on n’est pas peur de la blesser, par les paroles du moins. D’une nature imprévisible, elle peut se montrer généreuse, intuitive, réceptive et concernée par les autres pour se fermer à l’improviste et en devenir coléreuse et brutale. Ce comportement paradoxal, mélange d’égocentrisme et d’altruisme, de force et de fragilité, d’individualisme et d’esprit communautaire peut paraître déroutant à première vue, et Suri en profite, saluant cette perpétuelle longueur d’avance avec élégance. Jeune, ses parents ont cultivé son art de persuasion par de fréquentes disputes, et sa riposte en est devenue un automatisme. N’entrant jamais en trêve avec personne, elle est Toujours sur la défensive, et quiconque faisant irruption dans son champ de vision ou dans sa vie sans prévenir se verra bombarder de questions. Entretenant une fiévreuse angoisse à l’idée de ne pas connaître un sujet, la jeune fille se documente constamment, comme si les mots pouvaient la sauver de centaines de morts distinctes dans sa tête. Outre ses répliques cinglantes et ses arguments tant cherchés qu’impulsifs, Jane conserve une dernière alternative : mentir. Elle a toujours maintenu une facilité à tout ce qui s’approche du théâtre. Sa vision de voir les choses? Comble de l’originalité; une pièce, interminable, enchaînant tableau sur tableau et dont les scripts reposent entre ses propres mains. Oh, si. La demoiselle préserve cette haute idée d’elle-même – soit qu’elle peut tout changer. Pas la vie des autres certes, ni la face du monde non plus. Elle estime tout bonnement qu’elle tient les rênes de sa vie exclusive, véritable drame hollywoodien et n’importe quelles émotions revenant au galop pour les lui arracher se verra d’autant plus étouffer. L’amour y comprit.
Ses phobies : Jane est nécrophobe. Mourir, dans tout les sens du terme, ne l’effraie pas. Ce dont elle a peur s'approche de l'inconnu. Voir un corps qui a eu une vie auparavant, qui a souri, pleuré et crié aussi pâle et immobile affecte son raisonnement. Alors, elle en prend les couleurs du mort et panique, ayant souvent de la difficulté à respirer. Autrefois, son frère l'aidait dans ses crises ou on l'amenait d'urgence à l'hôpital, ce qui est devenu impossible dans les deux cas.
Ses habitudes : Suri est humaine, je tiens à le spécifier. Certes, sa vie ne se résume pas un répétitif « métro, boulot, dodo », mais on reste proche. Sans zieuter sa montre à tous les cinq secondes, elle maintient un petit régime santé, où le sport et le minutage font partis intégrantes. Se nourrissant de façon saine et demeurant active dans l’âme, il y a quelques mois, elle s’est obstinée sur ses lourdes chances de périr lors des prochains drames, son taux de chance lors des derniers étant anormalement élevé, et a décidé qu’avec les accidents et meurtres un peu partout, se seraient les monstres qui la tueraient, et qu’elle ne serait pas elle-même responsable de sa mort, ça jamais.! Sinon, elle concentre encore plus de temps aux penchants journalistiques venant de sa mère. Elle a toujours su que c’est se qu’elle ferait plus tard, et le temps lui manquant pour entreprendre des études spécialisées, elle s’improvise dans le journal de bord qu’elle tient. Sans paraître folle en traînant un micro et une télévision en carton dont les lieux qu’elle visite, elle envisage sa vie sous forme d’article ou de reportage, à vous de voir. Son second penchant à tout savoir et sa curiosité effrontée l’amène aussi à se balader dans des lieux interdits où personne n’oserait s’aventurer, mis à part un ou une inconsciente.
Dix choses à savoir sur votre personnage :
01 : Jane se reflète comme une jeune fille de dix-sept ans paraissant si fragile, mais elle survécu aux derniers massacres à cause de son irréprochable sang-froid. Elle tient à ne dépendre que d’elle-même, mais conserve cette image pour la longueur d’avance qu’elle lui apporte. 02 : Elle est immigrée, et s’est installée au Motel. Loin d’en être terrifiée, comme certains le sont là-bas, elle ne prend même pas la peine de barrer la porte, se disant que s’ils ont détruits la moitié du globe en quelques années, ils seront capables de défoncer la porte n'est-ce pas? Et bien qu’ils se fracassent le crâne au passage. 03 : La jeune fille a caché un vieil outil détecteur de mouvements derrière sa porte de chambre, et l’actionne avant de se coucher, tenant à voir le visage de celui ou celle qui l’éliminera. 04 : Dans ses temps sombres, elle qui tenait à peine compte du mot courtoisie avant a rayé la politesse de son langage, n’hésitant dorénavant plus à fouiner dans la vie des autres 05 : Elle a un tic nerveux, taper du pied. Heureusement, elle est plutôt calme de nature. Disons, qu’elle fait tout un boucan lorsqu’elle se fâche. 06 : D’un tempérament drôlement fataliste, elle se considère plutôt comme «réaliste» et ne s’est jamais gênée pour dire ses quatre vérités aux gens qui se voilent la face dans d’idiotismes espoirs à la noix, surtout de ces temps-ci. 07 : Suri est nécrophobe; peur des morts. Si elle croiserait un vampire, un dernier peut-être, elle le considérerait plus comme un cadavre vivant qu’une menace au début. Elle perdrait probablement ses couleurs et son souffle; elle s’est ramassée aux urgences après le salon funéraire de son frère aîné, mais avait tenu à s’y rendre. Quant à celui de ses parents, il n'a pas eu lieu. 08 : La demoiselle est reconnue pour ne Jamais passé à autre chose, obstinée à point tel que s’en est agaçant. Elle accumule ainsi les tourments sans réponses ou solutions, devenant de plus en plus fragile derrière son aura de froideur. Mais personne n’oserait la briser, non? Il faut espérer. 09 : Elle rejette tout sentiment pouvant lui compliquer la vie plus que nécessaire. Les conséquences de l’amour la laisse pantoise et elle ne veut pas en subir les dégâts. 10 : À noter; elle est rancunière à un point considérable et juge très vite, mais se trompe rarement.
Ce qu'il sait du surnaturel :
Vampire alias infâme buveur de sang : être chimérique qui sort du tombeau pour sucer le sang des êtres vivants durant leurs sommeil. Ne supporte ni l’ail, ni le soleil et peut être tué à l’aide d’un pieu. Loup-garou alias lycanthropes : homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et qui en devient violent.
Voilà ce que sont ces être mythiques pour la plupart des gens. Mais pas pour Suri. Pour la jeune fille, ils sont.. Rien. Ensemble, ils font la joie des films d’horreur et des adolescents immatures en cavale de sensations fortes – pour ceux qui sont encore en vie. Mais c’est tout. Lorsque les journaux se sont mis à publier ces sornettes superstitieuses, elle en explosa de rire. Suri croit en un monstre, un monstre humain. Elle se contrefiche de ses motifs. Un horrible qui voulu faire payer sa chirurgie ratée à son médecin peut-être? Ça l’indiffère. Restant curieuse, mais pas de cette façon. Elle ne veut pas la même chose que les journaux quotidiens; le pourquoi. Ce qu'elle veut, c'est le comment, et elle est décidée à l'obtenir.
Sa situation actuelle : L’effervescence de la peur elle-même est déjà en Suri, mais elle refuse de le reconnaître et ne le montre pas. Elle n’a pas peur de la mort, mais elle n’est pas masochiste non plus. Souffrir ne l’attire pas le moins du monde. Conservant son éternel sang-froid, elle a envisagé sa fin sur tous les angles et l’a accepté. C’est la fin des autres qui l’angoisse, la fin de tout ce qu’elle a connu. Elle ne croit en l’apocalypse prévu. Il y aura toujours quelque chose, c’est certain. Mais quoi? Toute sa jeunesse, elle a songé à mourir vieille et voyager durant sa vie. Les voyages ont été accomplis, du moins, elle a immigré. Mais penser au fait qu’elle n’aura jamais eu la vie qu’elle aurait voulu avoir la frustre et l’entraîne à jalouser les générations antérieures, déjà éteintes. Elle n’y échappera pas, et la différence entre un mois et une semaine s’estompant, elle se montre de moins en moins prudente.
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Hors jeu Personnalité choisie pour l'avatar : Kristen Kreuk. Prénom/pseudo : Sara’. Âge : 15 ans. Fréquence de connexion : 5/7. Comment avez-vous découvert le forum ? Light meets Night. Comment trouvez vous le design ? Et le contexte ? J'adore .!^^
Dernière édition par Suri J. Ross le Ven 8 Aoû - 17:58, édité 13 fois | |
| | | Suri J. Ross
Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 31/07/2008
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| Sujet: Re: Suri J. Ross. Jeu 31 Juil - 22:54 | |
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Dernière édition par Suri J. Ross le Ven 1 Aoû - 16:04, édité 3 fois | |
| | | Suri J. Ross
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| Sujet: Re: Suri J. Ross. Jeu 31 Juil - 22:55 | |
| Partie 2: Tu auras au moins remporté une manche.
Écœurée, Suri et ce regard qui en disait long sur sa pensée parcoururent à nouveau la pièce, refusant d’accepter l’ultime changement. La demoiselle avait revêtu une robe légère et noire pour l’occasion, ayant plus l’air de s’en aller rendre hommage à quelqu’un, à un enterrement. «Demain, nous inaugurons le troisième salon en famille.!» Avait sourit son paternel, faussement heureux, faussement humain.
Il n’était qu’un crétin de mirage de bonheur, et ma mère avait sourit, à son tour. Avait-elle décidé de poser sa candidature chez les insensibles et compagnie elle aussi? Toute leur satanée existence tournait autour du «paraître». Et bien, qu’ils paraissent! Puisqu’ils ne sont personne. Que d’ignobles pions dans le jeu des affaires de leurs patrons respectifs, faisant tous les deux le beau pour un reste d’os. Ils s’étaient retournés, en échos, et j’ai du mettre en doute ma conviction quant à la non-existence de la télépathie. «Tu dois être contente que les rénovations soient terminées.» S’étaient-ils exclamés, d’une manière plus ou moins semblable, résonnant comme un supplice traduit de la vermine à mes oreilles. Oh! Un autre mignon sourire.! Que c’est mignon! Dommage que je n’ai pas mon appareil photo, j’aurais pu passer le résultat à ma mère pour qu’elle écrive un de ses article à verser des larmes. «Après sept ans de peine et de doutes, moi et mon mari (VOTEZ LE PARTI VERT!) se remettons lentement de l’enlèvement de Joshua, notre fils que nous avons toujours détesté, soit dit en passant. Tout ça, c’est grâce à vous – et à votre contribution en argent liquide.»
C’est vrai, j’adorais écrire. Le journalisme avait toujours été Le domaine dans lequel j’aurais voulu percer, mais pas de cette façon, pas en mendiant alors qu’on «inaugure» le troisième salon après deux semaines de rénovations. Ils avaient tout les deux prétendu être profondément éprouvés par la disparition de mon frère et contacté un détective privé pour une enquête approfondie. Tout ça, pour la forme. Ça leur servait, d’attirer la compassion et la culpabilité de tous. Mon père avait même ajouter un charmant discours à l’intention de Josh dans son discours de campagne. Je vous garde de me demander ce que j’en pense. Alors, après un an sans résultats, ils avaient fait une commémoration à son honneur, attirant une bonne centaine de gens parmi les médias, dont ma mère. Je ne l’ai pas dit, mais je suis certaine qu’elle ne serait pas venue s’ils n’y avaient pas les caméras en direct. Et puis, pour clore en beauté, les traîtres avaient abandonné les recherches.
J’avais eu beau, du haut de mes huit ans, leur assurer qu’il n’était pas mort, ils ne me croyaient pas. J’étais jeune, et insouciante. Je refusais de l’accepter et je m’en veux de mettre autant ridiculisée. J’ai raconté à tous notre partie de cache-cache, qu’il était toujours caché, qu’il ne s’était pas fait enlevé. Au lieu d’une moindre compassion, j’ai eu le droit à des «Vous avouez avoir provoqué le décès de votre frère, est-ce que vous vous sentez toujours coupable?». Dans un sens, j’ai été stupide. Mais encore aujourd’hui, je suis certaine qu’il ne s’est jamais fait enlevé. D’accord! Il y avait du sang sur les lieux, et alors?! Il ne s’est pas pour autant fait assassiner. Il est sûrement parti, incapable de supporter le mutisme des parents à son égard, et curieusement je ne lui en veux plus. Je ne le chercherai plus non plus. Cela reste une des rares choses que j’ai accepté. Je sais, et je le comprend de ne plus vouloir revenir. Mais la raison restera toujours les crétins se promenant joyeusement dans l’ancienne chambre de Josh, aujourd’hui rénovée. Et eux, je ne leur ai jamais pardonné, même après avoir doublé d'âge et de maturité.
Partie 3: À mon tour maintenant.
Qu’elles sont noires, les pensées des nuits blanches! Suri se laissa glisser sur son lit avec dégoût. Certes, elle avait été habitué au luxe très jeune, mais quiconque ayant vécu sous un toit et mangé un minimum de deux repas par jour aurait été révulsé. Les murs semblaient avoir abrité un quelconque combat tant ils étaient démolis. Et pour renforcer cette idéologie, Jane avait du nettoyer du sang sur la carpette d’entrée en arrivant dans sa chambre. Heureusement, c’était tout ce qui restait de l’affrontement; la jeune fille n’aurait pas supporté la vue d’un corps après ça. Des cernes de nacre s’étaient accentuées sous ses yeux durant le voyage, mais elle avait tout de même refusé de dormir, ne faisant pas du tout confiance au chauffeur. Quoi? Lorsque le conducteur empeste autant que la voiture, on ne s’attend pas au gentleman des films américains. Elle avait pourtant du s’y résigner. Rares étaient devenus les personnes assez inconscientes pour se rendre au Texas sans empreindre les routes principales, mais avec les arguments de Jane et le surplus en pourboire, il avait accepté de risquer sa vie. Contrecoup, la jeune fille de dix-sept ans avait aboutit dans un motel bidon, n’ayant plus assez d’argent pour quelque chose de décent. Elle avait essayé du moins, mais lorsqu’on en est rendu à crier apocalypse à chaque coin de rue, on n’accepte pas les chèque bien sûr! Elle n’aimait pas ça du tout. Le silence la nuit, les fous qui verrouillent à quatre tours leur porte. Bande de crétins; s’ils ont réussit à conquérir la planète, ils n’auront pas du mal à enfoncer ta porte. La face de l’homme auquel elle avait déclaré ça; risible, mais pas autant que ce qu’il avait répondu. « Pour avoir l’temps de prendre mon fusil m’dame. » Franchement, les États-Unis ont assez d’armements pour faire exploser la planète une bonne centaine de fois si ça leur chante. Si les envahisseurs n’avaient pas de quoi contrecarrer, l’Amérique s’aurait démoli avec eux. Alors qu’aujourd’hui, tout là-bas n’est que ruine. Voilà six mois que Suri avait quitté son pays natal, abandonnant ses parents à leur sort. Qu’ils débrouillent avec leur système de défense automatique et leurs alarmes à la noix. Elle était arrivé à destination maintenant, et s’était jurer de ne pas avoir de regrets. Ce qu’elle n’eut pas de misère à respecter. Oui, elle était terrifiée, mais elle ne laisserait pas son jugement en garder les séquelles. Pas question. Elle n'était pas fataliste, mais réaliste. Aucune religion, arme ou parole ne pourrait la sauver, elle et les autres aussi. Toutefois, elle ne partirait pas sans faire de dégâts, et est prête à aider son monde à remporter un combat, même si la bataille est déjà accordée au camp adverse. Mais pour ça, elle devait connaître le profil de l'ennemi, et y était prête. Si elle devait mourir, elle voulait savoir pourquoi et pour qui elle le ferait.
Dernière édition par Suri J. Ross le Ven 8 Aoû - 17:53, édité 2 fois | |
| | | Suri J. Ross
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| Sujet: Re: Suri J. Ross. Sam 2 Aoû - 2:40 | |
| Présentation validée;
Cependant, j'avoue ne pas comprendre ton choix, ou plutôt celui de ton personnage en ce qui concerne le métier qu'il exerce. Tu nous dis deux fois dans ta présentation qu'il est nécrophobe et pourtant il, ou plutôt elle, décide d'être bénévole dans un hôpital... Tu me diras je n'ai pas plus d'information que ça, peut-être ne s'occupe-t-elle pas des morts... Bref, je tiens aussi à te complimenter sur ta façon d'écrire car ton vocabulaire est vraiment très riche, le texte et donc pour cela, plus facile à lire. C'est très agréable !
Pour le RP;
Tu vas bien évidemment devoir soigner ton orthographe. Tu dois aussi te demander pourquoi je ne t'ai pas demandé de corriger tes fautes ? Et bien parce qu'elles sont diverses et variées et que je préfère mettre celles-ci sur le compte de l'inattention, c'est tout à ton bonheur - j'invente aussi mes propres expressions, en effet. Certaines tournures de phrases sont inadaptées, je pense que tu devrais relire ton texte à haute voix, car j'ai eu du mal à te comprendre à certains moments... Ensuite il y a la forme de ton texte... Pour commencer n'hésite pas à le justifier, il n'est pas difficile de trouver le code, car cela permet de croire ton texte plus ordonné et soigné... Ensuite il y a le problème des tirets, tu en mets partout, et quasiment à chaque fois ils n'ont pas lieu d'être ! Remplace les par des virgules ! Car dans ton récit, elles sont quasi inexistantes et réellement importante pour la compréhension d'un texte. Je me permets aussi de te faire remarquer qu'il y a des majuscules sur des noms communs en plein milieu de phrases... D'après ce que j'ai compris c'est pour les mettre en valeur, mais c'est parfaitement inutile d'après moi et aussi d'après ma toute puissante professeur de français, si tu vois ce que je veux dire... Et enfin, utilise des synonymes ou des noms communs pour désigner ton personnage, cela pour éviter la répétition "elle" un peu partout dans ton texte.
Voili, voilou;
En espérant avoir été claire sans pour autant désagréable !
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| Sujet: Re: Suri J. Ross. | |
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